Il y a un jour de l’année où le réunionnais a son jour férié (rien qu’à lui), en effet, le 20 décembre prochain nous célébrons la fét kaf.
Cela dit en passant, je trouve ce terme assez réducteur car l’abolition de l’esclavage fait parti de l‘histoire de l’île et tous les réunionnais sont concernés cafres ou pas, descendant d’esclaves ou pas.

C’est l’occasion pour les jeunes de bénéficier d’une petite leçon d’histoire concernant leur île car l’actualité nous montre malheureusement que certains d’entre nous ignorent comment s’est construite la Réunion, à l’exemple d’un artiste qui a des origines réunionnaise et qui niait, sur une chaîne de TV national, l’existence de l’esclavage sur l’île Bourbon.
Enfin, chers parents, racontez à vos enfants comment cette île a été peuplée, parlez-leur du maronnage, de la révolte des esclaves à Saint-Leu.
Soyons fier de ceux qui ont lutter pour leur liberté ! Fêtons le 20 décembre comme il se doit, transmettons à nos petits les pratiques que nous a laissé les ancêtres esclaves, telles que le maloya ou le moring (capoeira).
Source de l’image : portail ile de la Réunion





En revanche il y en a qui se disent que ça devient trop banal ce genre de soirées, et opteront pour des soirées plus « hot ». Finis le petit pendentif en forme de cœur, les sous-vêtement rouge ardent. Adieu le parfum à plus de 100 €, le petit nounours qui tient un cœur dans ses bras … En fait, on tend à des cadeaux qui ne vont pas laisser de traces physiques, mais des cadeaux qui vont laisser des séquelles dans les esprits. Quoi que !






