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Le vampire : de la légende à la réalité

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Dans les années 90 je découvrais, avec Tom Cruise, Brad Pitt, Christen Dunst… le film « Entretien avec un vampire » et il y apparaissait des vampires forts attachants. Ce film reste un de mes films préférés et je pense que l’histoire n’a rien à envier à celle de Twilight. Pour ceux qui aujourd’hui aiment se plonger dans le monde des vampires ce film est à voir même s’il date de 1994. Pour en savoir un peu plus sur ces suceurs de sang je vous invite à lire le post de Eve Marie :

Twilight, True Blood, Blade, La Reine Des Damnés, 30 Jours De Nuit, Trinity Blood, Charmed, Supernatural… Les vampires font la une depuis quelques années. Ces créatures qui ne sont pas mortes, pas vivantes font parler d’elles et ce n’est pas pour déplaire au public puisque les jeunes raffolent de ces histoires.

Le vampire est le fruit d’une légende urbaine inspirée notamment par Dracula (Le latin : draco = drac en roumain : « le dragon » ou « le diable »).
On le connait tous ce suceur de sang humain, il parait qu’il est encore vivant qui plus est ! Bref, une légende urbaine ne nait pas sans raison, alors que s’est-il passé pour que le vampire naisse dans nos esprits ? Et pour qu’aujourd’hui il soit même arrivé chez nous, dans nos salons. Il y a néanmoins des causes bien rationnelles qui peuvent expliquer que cette légende ait pu être alimentée au fils du temps.

Et oui, la science a toujours son mot à dire. Il existe des pathologies et la rage est celle qui revient le plus souvent car les symptômes portent à confusions. La rage chez les hommes rend le teint pâle due à une hypersensibilité à la lumière et une forte hydrophobie (la fameuse eau bénite viendrait de là).
Outre ces symptômes qui ont des similitudes avec les légendes sur le vampirisme, la rage se propage, entre autres par la morsure d’animaux, notamment de chauves-souris vampires, car il fallait bien un moyen pour expliquer ces canines si longues.
Il y a aussi la porphyrie (aussi « la maladie du vampire ») qui est le déficit d’une des enzymes intervenant dans la dégradation de l’hémoglobine qui peut entrainer un rougissement de l’urine après une exposition à la lumière ou se traduire par une hyperpilosité et une forte carence en fer .
Beaucoup disent qu’à l’époque de l’apparition de cette légende, certains atteints de porphyrie se soulageaient en buvant du sang humain.
Tout ça ne rend pas Edward Cullen (le vampire de Twilight) ni Bill Campton (celui de True Blood) bien sexy.

Le vampire de la télé serait donc qu’une légende ? Et oui ! Bill et Edward ne sont que les fruits d’une modernisation des superstitions populaires. De nos jours ce qui est étrange c’est que les jeunes n’ont plus peur du vampire, ils l’admirent, le trouvent beau et courageux. Comme dans la série True Blood, le vampire se modernise et devient sociable.
Et si ce n’était pas qu’une légende ? Et si nous comptions des vampires parmi nos amis ?

Eve Marie,

Cérémonie tamoule : sacrifice d’animaux pour Karly

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Les cérémonies tamoules sont connues pour ses marches sur le feu spectaculaires mais aussi pour ses sacrifices d’animaux, ces derniers consistent à tuer un animal et à l’offrir à un Dieu ou une Déesse. En ce moment c’est la déesse Karly qui régale, fleurs, fruits, coqs, cabris lui sont offerts en guise de remerciement pour l’année qui vient de s’achever et afin de lui demander protection pour soi-même et sa famille  pour l’année 2010 qui débute.
Ici, à la Réunion, même si l’on n’est pas de confession hindou on connait de près ou de loin cette religion car on a tous un amis ou un proche qui pratique l’hindouisme.

Le rituel du sacrifice fait parti de cet héritage culturel qui vient de l’Inde. Dire que c’est une pratique d’un autre temps et qu’il faudrait arrêter ce rituel, serait demander au pratiquant d’oublier ses croyances. Nous sommes sur une île avec des confessions religieuses différentes et nous devons accepter la diversité qui en ressort.
Certains auront beau dire que c’est barbare, le fait est que cette cérémonie dédiée à Karly représente une partie de la culture réunionnaise tout comme le Dipavali (tamoul), Guan Di (chinois), Aïd el kebir (musulman) défilé de crèche de Noël (catholique), service Kararé (malgache) et j’en passe…

Je dois l’avouer, en voyant les images sur le site Clicanoo du dimanche 3 janvier 2010, dans un premier temps tout le sang répandu sur le sol m’a choqué, le rituel m’est apparu très barbare. Mais vite je me suis rappelée à un peu plus de tolérance car selon moi c’est très important de respecter les croyances et tendances des autres.

Face à certaines images il est parfois dur de comprendre les rites, coutumes, religions des autres c’est pourquoi je vous invite à lire ces deux articles, ils vous donneront plus d’informations sur la déesse Karly :
Les sacrifices en l’honneur de Karly, Mardevirin, et Minnie. île de la Réunion
A PROPOS DE LA DEESSE KARLY

Source de l’image : mi aime a ou

Devenez donneur de moelle osseuse : c’est vital

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La moelle osseuse, riche en cellules souches hématopoïétiques,est répartie dans les os du corps ; elle fabrique les cellules du sang (globules rouges, globules blancs, plaquettes sanguines) qui se renouvellent régulièrement.
Cela n’a rien à voir avec la moelle épinière. Définition de France adot

Source de l’image : asmeg.org

Des milliers de personnes dans le monde meurent chaque année de maladies graves du sang, en s’inscrivant comme donneur de moelle osseuse on augmente les chances d’un malade à bénéficier d’un don, car ce geste reste pour certains malades le seul espoir de guérison.

Voici l’appel de Muriel, réunionnaise de 31 ans, atteinte de leucémie :

Aujourd’hui des personnes atteintes de leucémie meurent faute de donneur de moelle osseuse compatible, bien que « Être donneur est un acte qui nécessite juste de l’Amour ». Car malgré la gravité de cette maladie, le don de moelle osseuse est un acte simple et sans répercussion sur votre santé d’autant plus qu’aucun risque ne sera jamais pris; d’où les contres-indications au don.
Mais bien souvent par manque d’informations ou à cause de fausses idées, les personnes prennent peur et refusent d’être donneur alors qu’un malade n’a qu’une chance sur 1 million de trouver un donneur compatible.

Ma mère est décédée le 24 juin 2008 à 52 ans après 1 an et demi de traitements. Un donneur ne lui a été trouvé qu’en mai 2008. Mais TROP TARD, les chimiothérapies l’avaient déjà trop affaibli. Sans aucune défense immunitaire lors de sa dernière chimiothérapie, elle n’a pas pu combattre ses infections et nous a quitté sans crier gare.

Aujourd’hui je dois me battre, non plus pour elle, mais pour VIVRE et pour que le monde comprenne que nous leucémiques avons besoin de vous pour combattre cette maladie qui est  due à un dérèglement de la fabrication de notre sang mais qui peut nous coûter la VIE.
Comprenez que les traitements (chimiothérapie, radiothérapie) permettent de détruire en partie les cellules cancéreuses. Mais ce sont de vrais poisons qui nous affaiblissent peu à peu. Ces traitements permettent d’avoir les conditions requises pour effectuer une greffe de moelle osseuse qui nous immunisera et favorisera nos chances de guérison.

C’est pour ces raisons que notre vie dépend de l’existence d’un donneur et qu’il faille que vous soyez dès aujourd’hui sur la liste des donneurs internationaux afin qu’un leucémique soit soigné dès qu’il lui est nécessaire (40 dont moi à la Réunion à ce jour).

Vous avez la possibilité de nous offrir l’espoir de guérir et de vivre normalement, car être malade n’est pas une vie.

Il est très important que vous continuiez à donner votre sang et vos plaquettes car c’est grâce à ces transfusions que nous pouvons être en mesure de subir nos traitements.

Espérant avoir trouvé les mots qui vous convaincront de sauver une vie par simple générosité, MERCI du fond du cœur.

Muriel


Source : laurettefugain.org

Fausse Couche Tardive : Témoignage de Eve-Marie

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Dans la vie nous vivons des bons moments, mais aussi des moments durs à surmonter, je vous invite à lire l’histoire de Eve-Marie, 22 ans qui a vécu l’arrêt brutal de sa grossesse .

4 moisUn jour on m’a dit que j’étais enceinte. Qu’elle nouvelle! J’avais envie de le hurler à la terre entière.
Chaque semaine qui passait était une semaine de bonheur. J’étais fier de moi, de nous et de se petit bout qui débutait tranquillement sa vie en moi.
La première échographie est la preuve indéniable que vous êtes l’hôte d’un petit être qui va grandir et vous rendre heureuse au fil des mois.
Le premier rendez-vous chez le gynécologue s’était très bien passé. On m’a dit qu’il était en parfaite santé, que mes résultats sanguin étaient bon, ce qui me remplissait un peu plus de joie.
On entendait son petit cœur qui battait la chamade, on distinguait déjà ses membres. Le lien se créait, cet enfant était le mien. Oui, déjà, le mien et le sien, lui qui se sentait déjà fier de celui qui sera un peu de lui et de moi.

Un petit souci au dos me faisait un peu souffrir à cause de ma prise de poids mais rien n’y faisait j’étais heureuse.

14 Semaines et j’avais hâte qu’arrive la consultation chez le gynécologue, je savais qu’il était probable qu’on me dise le sexe de mon bébé. L’attente me semblait alors interminable.
Tout allait bien, son cœur, ses membres et on savait même le sexe du bébé. Un garçon, un petit garçon, pour moi et l’homme de ma vie: C’est un cadeau des Dieux, c’est sûr.
Ne pouvant plus contenir ma joie je criais à qui voulait l’entendre que j’attendais un heureux évènement, et que c’était un garçon.
L’homme de ma vie et moi commencions même à chercher un prénom pour ce petit bout, mais bon, nous avions tout notre temps pour en trouver un.

Nos amis, nos parents, nos collègues, tous nous félicitaient pour cet événement qui mettait de la joie dans nos yeux. Tout allait pour le mieux.

Comme si je n’avais pas droit au bonheur, un après-midi j’ai été prise de coliques et de saignements, j’appella le 15 ce fameux numéro d’urgence comme on me l’a appris en cas de problème. J’arrive aux urgences de l’hôpital, on me monte en gynécologie , le médecin me dit que j’avais sûrement une fuite de liquide amniotique. Continue reading →

Un geste simple : le don du sang

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logo EFS

Depuis le 14 juin 2007 nous pouvons recommencer à donner notre sang. Ainsi même après avoir contracté le chickungunya ou avoir voyager à l’île Maurice le don du sang et de plaquettes est possible.
Donner son sang est un geste simple qui permet de soigner un accidenté, ou un enfant, c’est contribuer à sauver une vie. Cela n’arrive pas qu’aux autres d’être confronté au malheur, n’attendons pas d’être face à ce genre de situation pour prendre conscience de l’importance du don du sang. Le calendrier des collectes de sang est disponible sur le site de l’EFS.